Les bouffées de chaleur

Traitement des bouffées de chaleur en étiopathie

Virgile THILY

5/26/20252 min lire

Que dit la médecine ?

Au moins trois femmes sur quatre ressentent des symptômes de la ménopause dont les plus fréquents et incommodants sont les bouffées de chaleur. Celles-ci sont dues aux variations du débit sanguin dans les vaisseaux sous-cutanés. Les œstrogènes, qui sont des hormones ovariennes, interviennent dans la régulation de la température du corps. Les bouffées de chaleur se manifestent soudainement en présentant une situation de chaleur intense au niveau de la poitrine, du cou et de la tête. Un rougissement et des sueurs les accompagnent généralement. Ces phénomènes durent de quelques secondes à quelques minutes, voire une heure. Ils se terminent parfois par des tremblements et des frissons. Certains facteurs, comme les températures chaudes et humides, la joie, la peur, l'anxiété, les aliments épicés, l'alcool, favorisent l'apparition de ces bouffées de chaleur. Les symptômes sont souvent traités par hormonothérapie (œstrogènes), mais ce traitement comporte des inconvénients car il augmente les risques de cancer de l'utérus.

Que dit l'étiopathie ?

Contrairement à tout ce qui est classiquement enseigné, les bouffées de chaleur sont à considérer comme anormales, au même titre que les autres troubles de la ménopause. Celle-ci est une période physiologique naturelle, mais tous les phénomènes pathologiques qui peuvent l'accompagner sont anormaux. L'étiopathie, en normalisant la circulation pelvienne et la circulation veineuse en général, en éliminant les exsudas, œdèmes, lésions articulaires, c'est-à-dire en normalisant les systèmes concernés, obtient des résultats systématiquement positifs. La femme peut alors passer ce cap sans même s'en rendre compte. Il suffit de quelques interventions régulièrement espacées pendant une période pouvant aller d'un à trois mois. Durant ce traitement, l'étiopathe utilise, en sus des techniques structurelles, des techniques abdominales destinées à réduire les états pathologiques locaux. La chirurgie et l'hormonothérapie ne peuvent que déséquilibrer un peu plus une fonction hormonale en cours de renouvellement. En la matière, l'étiopathie se montre particulièrement efficace en rééquilibrant le système circulatoire.